"Entre ciel, terre et mer ou le mythe revisité"... Dennis Nona, actuellement exposé à l'ambassade d'Australie, nous invite à entrer dans son univers où les hommes demandent aux esprits d'arrêter de manger la Lune, où les grandes oies volent dans le ciel et les dugongs se cachent à l'ombre des nuages portée sur la mer.
Où l'on peut encore être transporté sur des arcs-en-ciel, croire aux jardins prolifiques ; et voir dans les queues de poisson surgissant de l'eau, autant de voiles de bateaux prêts à vous emmener au-delà des mers.
Photo : Oeuvres de Dennis Nona exposées à l'ambassade d'Australie.
Quel bel imagiaire,libre si riche et si humain.La technique prend toute son ampleur.Une merveille, un envol, une lumière dans notre époque si troublée.
Rédigé par : Lebreton | 11 mars 2011 à 08:56
L'oeuvre (magnifique) de Nona illustre parfaitement ce que j'ai essayé d'exprimer dans mon dernier mail ! Ou bien l'on s'immerge dans l'univers pléthorique (et somptueux) des "Arts Sacrés" traditionnels si bien illustrés sur votre blog, ou bien l'on se concentre sur les rares (et méritoires) tentatives de quelques Artistes de la "rupture" et la "transformation" (c.a.d. de la Création) qui sont de véritables "passeurs" au sens où (à mon avis qui ne fera sûrement pas l'unanimité) il offrent une chance réelle aux Sociétés auxquelles ils appartiennent de mettre un pied dans le Futur sans se diluer dans le magma de la Post-Modernité!!! En tous les cas, je trouve cela remarquable....Et j'aimerais bien participer, en tant qu' Occidental (si ce n'est pas considéré comme un gros mot) à une "joint-venture" de ce type.......!!!!! (Comme à Tengue Dengue que j'ai raté) I.D.
Rédigé par : Imbert de Dion | 15 septembre 2011 à 17:31